• Europa City, gigantesque entourloupe

    Le groupe Auchan, initiateur du projet, promet vingt mille emplois nouveaux. Intenable, estiment les associations.

    http://suaudeau.fr/pourquoi-europa-city-est-un-grand-projet-inutile.html

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    Europa City, ou l'art de construire des pistes de ski en banlieue parisienne

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/03/26/europa-city-ou-l-art-de-construire-des-pistes-de-ski-en-banlieue-parisienne_1851319_3244.html

     

     

     

     

    Tour de France des "grands projets inutiles"

     http://www.lemonde.fr/planete/visuel/2013/07/01/au-pays-des-frondes-contre-les-grands-projets-inutiles_3438133_3244.html

     

     

     

    Entre autres:

    Val Tolosa 

    Le projet des « Portes de Gascogne » est un méga centre commercial qui pourrait bétonner selon ses opposants 105 000 m2 de surface sur le plateau de la Ménude, près de Toulouse.

    Ferme des Bouillons  

    Quand le groupe Auchan a acheté la Ferme des Bouillons et ses 4 hectares à Mont Saint Aignan en janvier 2012, celle-ci a été immédiatement occupée : « Des champs, pas d'Auchan ».

    Eco-quartier à Dijon

    Près de 28 hectares de friches dont six cultivables doivent être réhabilitées en éco-quartier, un projet urbanistique prévu pour 2015. Mais le projet est contesté par des opposants qui font revivre cet ancien quartier des maraîchers.

    Center Parcs 

    Dans la forêt des Chambarans, sur la commune de Boyron, en Isère, Center Parcs (du groupe Pierre et Vacances) voudrait construire un village de vacances de mille maisons. Mais l'impact sur la nappe phréatique, notamment, motive une forte opposition qui mène une guerilla juridique.

     

     

     

     


  • http://www.bioconsomacteurs.org/bio/dossiers/agriculture-alimentation-sante-environnement-societal/usage-soutenable-des-terres-la-tr

    afterres lentilles vertes solagro

    Peut-on nourrir 71 millions d’habitants en 2050 avec les terres de France métropolitaine? Et ce, tout en améliorant la fertilité des sols, la qualité des eaux, la biodiversité et le climat – et en produisant matériaux et énergie ? Le bureau d’études Solagro montre que le défi peut être relevé. Condition : s’engager dans la transition… dans nos assiettes.

     

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    bien d'autres articles sur:

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    Bonne lecture


  • http://www.bioconsomacteurs.org/bio/dossiers/agriculture-alimentation-sante-environnement-societal/la-premiere-amap-francaise-menace

     

    arrachage carottes amap denise et daniel vuillon expropriation

    Denise et Daniel Vuillon, initiateurs de la première amap (association pour le maintien d’une agriculture paysanne), sont menacés d’expulsion pour une ligne de tramway. Une illustration de l’artificialisation des terres que nous pouvons tenter de contrer en relocalisant notre alimentation.

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  • "Il faut abandonner le dogme de croissance"Pierre RABHI

     

    http://www.dailymotion.com/video/x15wkt1_pierre-rabhi-il-faut-abandonner-le-dogme-de-la-croissance-14-10-2013_news?search_algo=2

    Pierre Rabhi sur France info lundi 14 octobre

    capture d'écran

    Il faut abandonner le dogme de la croissance. Pierre Rabhi

    Dans un Monde d'idée sur France Info

    Pierre Rabhi sur France info lundi 14 octobre


  • Implantation d’une étable de mille vaches et d’un méthaniseur

    à DRUCAT-LE-PLESSIEL et BUIGNY-SAINT-MACLOU

     

    NOTRE SANTE,

    NOTRE ENVIRONNEMENT EN DANGER

    La « SCEA côte de la Justice » et M. Ramery ancien entrepreneur de travaux publics du Nord, envisagent d’implanter une étable de 1000 vaches laitières  + 750 veaux et d’un méthaniseur le long des pistes du terrain d’aviation d’Abbeville sur les communes de Drucat-le-Plessiel et de Buigny-Saint-Maclou.

    Face à ce projet gigantesque et ses conséquences, la mobilisation s’organise. Déjà plus de 1000 personnes s’y opposent et ont signé la pétition dont la quasi totalité des familles de Drucat-le-Plessiel et 80 % des 220 personnes contactées à Buigny-Saint-Maclou. Le conseil municipal de Drucat-le-Plessiel s’est prononcé contre et M. le Maire a remis le permis de construire du méthaniseur avec avis défavorable. Une association vient de se créer dans le but d’agir collectivement, d’alerter la population et de faire en sorte que M. le Préfet n’autorise pas la construction de ce complexe agricole et industriel.

     

    Un projet néfaste

     

    Des risques pour la santé humaine. Les rejets du méthaniseur « seraient acceptables en termes toxiques et cancérigènes ». En clair il y a un risque. Autres risques : des maladies transmissibles entre bêtes et aussi de la bête à l’homme, maladies aux effets inconnus. La forte concentration animale accélérerait la mutation incontrôlable de virus. L’utilisation des antibiotiques va augmenter le phénomène d’ «  antibiorésistance », ce qui interpelle les chercheurs de l’INRA.

     

    Un environnement dégradé. Les habitants des 24 communes concernées seront contraints de respirer l’air vicié par l’épandage des boues résiduelles. Il faut ajouter les odeurs dégagées par le stockage de déchets organiques touchant plus particulièrement les communes proches de l’usine laitière.

     

    Une augmentation des risques d’accidents de la route. Des sites d’épandages à plus de 20 Kms. La multiplication des véhicules lents parmi la circulation dense de la route départementale 928 (déjà saturée) est un élément non négligeable pour la sécurité routière. Sans parler des routes souillées qui comportent aussi un risque.

     

    D’éventuels sinistres sous-évalués comme par exemple le volume des bassins de stockage en eaux polluées. Contrairement à ce que les promoteurs nous disent de graves dangers existent.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Des conséquences économiques. Aujourd’hui les petits producteurs ont du mal à vendre leur lait. On les a vu manifester et déverser des tonnes de lait dans les champs. On nous fait miroiter la création d’une dizaine d’emplois. Mais cette laiterie industrielle va inévitablement accélérer la disparition de petites et moyennes exploitations asphyxiées par la baisse des cours du lait. Combien de personnes vont se retrouver sans emploi ? La production intensive s’inscrit dans une course effrénée à la productivité à des fins purement financières. M. Ramery l’a dit en réunion publique. Or la France a aujourd’hui assez d’exploitations aux normes pour accueillir les vaches laitières et ainsi répondre aux besoins des populations.

     

    Un épandage problématique de boues résiduelles et de lisier. Une telle concentration d’animaux sur un même site induit inéluctablement une concentration de déchets qui seront épandus dans les champs de 24 communes environnantes tout près de la baie de Somme. A terme on parle d’un besoin de 2700 hectares, actuellement le promoteur ne peut compter que sur 1200 hectares. Quelles conséquences sur le long terme ? Devrons-nous assister à l’invasion d’algues vertes en Baie de Somme comme en Bretagne ?

     

    Les villages dévalorisés. La qualité de vie dans nos villages va être affectée. La valeur des habitations sera amoindrie par la présence de cette usine à lait et par l’épandage.

     

    Une plaie dans le futur parc régional. Alors que notre Baie de Somme est dans le cercle privilégié des plus belles baies du monde, que l’on veut faire du tourisme une priorité, que l’on veut préserver la région côtière en créant un parc régional, comment les pouvoirs publics pourraient-ils accepter l’implantation de cette « verrue » ? N’y a-t-il pas là un non sens ?

     

    Le bien-être animal non-respecté. La surface par vache dans l’étable sera de 7 m2. Les conditions de vie ne sont pas conformes aux besoins physiologiques naturels des animaux selon la loi. Ce mode d’élevage concentrationnaire, visant à la productivité maximale, a une nocivité tant sur l’animal que sur la qualité du lait. On le crée en France alors que Bruxelles envisage d’interdire l’élevage de volailles en batterie. La nourriture animale est calculée pour obtenir le maximum de lait. Il faut des aliments végétaux (sans parler des OGM) qui poussent sur nos terres à coup d’engrais chimiques et de pesticides ou autres produits chimiques. Des résidus peuvent se retrouver dans la viande et dans le lait.

     

    Pour le bien-être des populations,

    des consommateurs et des animaux.

     

    Pour préserver l’environnement,

    la sécurité routière et l’emploi.

     

    N’attendons pas d’être mis devant le fait accompli.

    MOBILISONS-NOUS
    Rejoignez notre association,

    participez à ses initiatives.

     

    Ne pas jeter sur la voie publique                                                                                                                                                            IPNS         

     

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