• transfert de liens vers le site NOVISSEN :

    ces liens conduisent à cette association qui lutte contre le projet de la 'ferme des mille vaches', le modèle industriel en agriculture qui est celui privilégié depuis trop longtemps et qui continue de s'étendre.........


    http://www.novissen.com/Pages/default.aspx
    http://www.novissen.com/Pages/Actionsrecentes.aspx

    Merci pour votre lecture attentive et pour vos actions ainsi que la diffusion de ce message.

    autre article sur le projet des 1000 vaches!

    http://www.letelescope.info/article/agrobusiness-le-creneau-des-mille-vaches/

     

    Agrobusiness: le créneau des mille vaches

    Le 14 septembre 2013

    Par Jade Lindgaard | Mediapart

     

    Un millier de vaches passant leurs journées sous hangar, sans sortir, à ruminer des grains de maïs, du soja et des pousses de luzernes. Dix mètres carrés par bête, dans une atmosphère contrôlée scientifiquement. Trois traites de lait quotidiennes pour produire jusqu’à 8,5 millions de litres par an. Sans oublier, la valorisation du lisier en électricité par le truchement du plus gros méthaniseur jamais construit en France (1,5 mégawatt). Un remake de Terminator à la campagne ? Non, une ferme picarde en cours de construction sur le lieu-dit du « bout du monde », au pays des céréales, de la betterave et de la bière. 

    Le chantier de la ferme des mille vaches (Novissen).Le chantier de la ferme des mille vaches (Novissen).

    L’exploitation agricole que le groupe de BTP Ramery développe aujourd’hui dans la Somme convoque une rencontre du troisième type : d’un côté, la traditionnelle activité de production laitière, emblématique de la paysannerie...

     


  • cliquez sur le lien ci-après:

    http://www.aceve-environnement.org/Le-principe-des-4-R.html

    ou un peu de lecture!

    Le principe des 4 R

    REDUISONS
    au moment de l’achat

    REUTILISONS
    plutôt que de jeter

    REPARONS
    pour prolonger la vie de l’objet

    RECYCLONS
    en respectant les regles de tri

    Actuellement, en France, on jette une moyenne de 427 kg de déchets par habitant / an, sachant que cette quantité croît de 1 % par an. Mais plusieurs pays (Nouvelle Zélande, Australie, USA, Japon, Allemagne, Suisse, Belgique, etc.) ont pour objectif « 0 déchet en 2010 ». Ainsi, la ville de CAMBERRA (Australie) a réussi à diminuer de 51 % ses déchets des décharges et incinérateurs en 6 ans. Les bénéfices de cette opération ont permis la création de plus de 200 emplois dans le secteur de l’environnement.

    En France, plusieurs communautés de communes se sont lancées dans l’aventure, notamment celle de la Porte d’Alsace qui, après avoir refusé la construction d’un incinérateur, a réduit ses déchets non recyclés de 370 à 103 kg par hab / an (cf. : Déchets ménagers : le jardin des impostures de Dany DIETMANN, éd. L’Harmattan 2005 - 160 p. - 14,50 euros)
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    Pesée embarquée
    Pesée embarquée : chaque foyer paie en fonction du poids de ses ordures ménagères

    1- Pourquoi une telle quantité ?

    Les modes de vie actuels sont source de nombreux déchets :

    • courses dans les grandes surfaces, donc davantage d’emballages et de suremballages, peu de vente en vrac, peu de recharges, …
    • achat de plats préparés, de parts individuelles, de lingettes pour se « simplifier » la vie, de produits jetables, etc.
    • obligation dans certaines régions d’acheter de l’eau en bouteille à cause de la mauvaise qualité de l’eau dite potable ;
    • invasion de la publicité, notamment dans nos boîtes aux lettres.

    2- Pourquoi réduire la quantité et la toxicité ?

    Pour réduire l’impact environnemental (pollution de l’air, de l’eau, du sol, gaz à effet de serre, …).

    Les emballages sont non seulement énergétivores et polluants à produire, mais génèrent souvent de la pollution lors de leur abandon dans la nature, leur mise en « décharge » ou leur « incinération ». Ces déchets incinérés (dont beaucoup de plastiques), dégagent des polluants plus ou moins contrôlés à plus ou moins haute toxicité pour l’eau, l’air et le sol (mâchefers, cendres, dioxines…). Ces polluants, avec d’autres, se retrouvent dans notre organisme comme le prouve l’analyse par le WWF, du sang de 47 parlementaires, dans lequel une moyenne de 41 produits chimiques toxiques différents ont été détectés en 2004.

    3- Que devient notre poubelle ?

    Les déchets non triés que nous déposons dans les conteneurs sont brûlés dans l’incinérateur de Poitiers (moyennant environ 200 € la tonne) qui a été mis à l’arrêt en mars 2006 pour une nouvelle remise aux normes (coût : 9 M € HT !). Leur combustion produit des fumées toxiques, ...

    Pour améliorer la combustion de l’incinérateur :
    • compostons les fermentescibles (déchets de cuisine) qui contiennent 90 % d’eau. Pour réduire la pollution :
    • trions les produits toxiques tels que piles, peintures, etc. (Des lieux de récupération existent dans certains commerces ou en déchèteries).

    Et si tout se décidait avant de jeter dans le conteneur ?
    Poubelle débordante texte poubelle camion à ordures Voici quelques gestes écocitoyens à pratiquer pour réduire la pollution qu’engendrent les déchets sachant que « le meilleur déchet est celui qui n’existe pas ».

    A. Gestes écocitoyens pour protéger l’environnement

    • Je préfère des produits peu emballés ou dont l’emballage est recyclable ;
    • j’emporte un récipient adapté quand j’achète des produits frais (poisson, fromage, …) ;
    • j’évite les produits jetables (rasoirs, briquets, …) ;
    • je prends un cabas pour les courses...
    • je fais réparer mes objets en panne si c’est moins cher que du neuf, ou - je les oriente vers une réemploirie ou recyclerie (qu’on pourrait créer au niveau du canton) et j’achète des objets d’occasion (Envie 86, Envol, Emmaüs, …) ;
    • j’achète de manière réfléchie, ce qui ne devrait pas rendre ma vie insipide pour autant ;
    • je remplace les détergents, insecticides, herbicides, pesticides (qui tuent la vie, comme leur nom l’indique) par des produits moins agressifs et biodégradables (gamme verte, produits bio, …). Attention : le « Point Vert » ne signifie pas que le produit sera recyclé mais seulement que le fabricant de l’emballage cotise (de manière dérisoire) à une société chargée de valoriser ce type de déchet ;
    • j’utilise le plus souvent possible du papier dit recyclé, (si possible certifié) pour la cuisine, les toilettes et le bureau (en écrivant sur les 2 faces des feuilles) ;
    • j’essuie autant que possible à l’aide d’une éponge et d’un torchon plutôt qu’avec des lingettes ou du papier essuie-tout ;
    • j’apporte mes vêtements, livres, appareils électroménagers, jeux…, aux magasins d‘occasion ou aux organismes de solidarité (Emmaüs, Croix Rouge, Armée du Salut, …), ou en déchèterie si celle-ci évite de les brûler… ;
    • je compresse les bouteilles en plastique du haut vers le bas (et non à plat, pour qu’elles puissent être identifiées par les machines dans les centres de tri) afin de réduire le volume transporté ;
    • j’aide les personnes âgées à apporter les déchets aux points de collecte...

    Composteur B. Les déchets fermentescibles (épluchures, fleurs fanées, etc.)

    Ils représentent en moyenne 16% de la masse et 30% du volume de nos poubelles. Leur compostage permettrait de supprimer 60 incinérateurs en France ! Si l’on possède un jardin, il est recommandé d’y faire un compost qui, une fois décomposé, régénèrera le sol. Le déchet ira de l’assiette à la terre sans le moindre coût ! Le compost peut se faire : en tas, avec éventuellement un encadrement de palettes ou de bois, dans un composteur.

    Les habitants de Poitiers et du Canton de Vouillé peuvent s’en procurer un, pour la somme de 15 €, respectivement auprès de : la Communauté d’Agglomération de Poitiers, la Communauté de Communes du Pays Vouglaisien.

     

    La liste des alternatives à la réduction des déchets est longue et soumise à la réflexion de chacun !

    Adresses intéressantes :

    • R.A.P. (Résistance à l’Agression Publicitaire) 53 rue Jean Moulin 94300 VINCENNES tél. : 01.43.28.39.21
      http://www.antipub.net/

    Le site http://www.promoconso.net/ compense fonctionnellement le refus de la pub papier.

    la pesee embarquée feuille 24 p 22-24


  • http://www.youtube.com/watch?v=a0J2gj80EVI&feature=share

     

     

    une contribution de Dorothée B,qui vient de découvrir ce petit documentaire très riche et  très intéressantet qui voulait donc partager cette découverte !

    Percutant et superbement réalisé, ce film d'animation questionne notre mode d'exploitation des énergies fossiles et des ressources naturelles, ses conséquences au niveau planétaire et l'impasse où nous mène notre modèle de croissance.

    Information et documentation sur le site http://sansLendemain.mpOC.be.

    Titre original étasunien : There's no tomorrow.

    Réalisation : Dermot O' Connor (35 minutes, 2012). Incubatepictures.com
    http://www.youtube.com/watch?v=VOMWzj...

    Version française 2013 due à l'initiative du groupe de Liège du mpOC, Mouvement politique des objecteurs de croissance (le mpOC n'est pas un parti politique).

    Avec le soutien de : Amis de la Terre Belgique, ASPO.be (section belge de l'Association for the Study of Peak Oil and Gas), GRAPPE (Groupe de Réflexion et d'Action Pour une Politique Ecologique), IEW (Inter-Environnement Wallonie), Imagine demain le monde, mpOC.

    Traduction : Francis Leboutte.
    Voix : Caroline Lamarche.
    Mixage voix : Margarida Guia.
    Sous-titres en néerlandais, allemand, anglais, français, espagnol et italien.


  • http://www.univers-nature.com/actualite/habitat/la-permaculture-un-concept-qui-setend-a-lechelle-de-la-ville-64445.html

     

    concept qui s'étend à l'échelle de la ville

     

    avec le lien ci-dessus, vous trouverez des articles sur les jardins partagés, sur les énergies renouvelables, enfin, beaucoup de sujets intéressants.

    Bonne lecture!